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Pouvez-vous vous présenter en quelques mots?
MAXIME     /
Je suis quelqu’un de très sensible aux objets et aux matières brutes. Dès l’enfance, j’adorais ramasser des choses : du bois flotté sur la plage, des galets… J’ai gardé ce côté là et je continue de m’extasier devant les choses simples et naturelles.
Vous semblez avoir un attachement particulier aux matières brutes. Pouvez-vous en dire un peu plus ?
MAXIME     /
Aujourd’hui, je bosse dans la déco, je suis responsable développement et qualité produit pour Bleu Nature. On fait principalement des objets de décoration, des luminaires et du mobilier. Ce qui m’intéresse tout particulièrement dans mon travail, c’est la trace du temps qui passe sur la matière brute, l’érosion des matières naturelles. Je suis très sensible aux matières qui ne paraissent pas travaillées. Ce qui m’attire, c’est la beauté brute qui pousse l’oeil à faire un travail approfondi pour y déceler une histoire. J’aime ce qu’on appelle « l’art pauvre », qui consiste à récupérer ce qu’on a à disposition et à le sublimer.
Vous avez un rapport très particulier à l’esthétisme, aux beaux objets… Comment définiriez-vous votre rapport au luxe ?
MAXIME     /
Pour moi le luxe, c’est ça : une forme de simplicité poussée dans ses retranchements avec des détails et de l’élégance. J’ai retrouvé ce rapport à l’esthétisme chez CARLOTTI… Rondement même ! (rires) C’est un luxe précieux, on n’est pas dans le snob ni dans le tape a l’oeil, on est vraiment dans l’élégance, dans le détail.
D’où vous vient cette sensibilité ?
MAXIME     /
J’ai toujours eu une sensibilité artistique, par le dessin notamment, et un côté rêveur. J’ai un environnement familial très créatif. Ma mère accumulait tout un tas de choses, c’était un musée chez elle. Il pouvait y avoir une toile de maître à côté d’un gris-gris. C’était un véritable cabinet de curiosités… mais ordonné ! (rires) Elle n’était pas vraiment attachée à la valeur financière de chaque objet mais à son esthétisme, à l’oeil qu’on lui accordait.
Cette sensibilité vous a-t-elle guidé dans votre choix de lunettes ?
MAXIME     /
Enormément. J’ai perdu ma mère peu de temps avant de changer de lunettes. Elle avait des yeux bleus magnifiques. Je voulais donc m’offrir la plus belle paire de lunettes possible pour avoir quelque chose qui me rappelle ma mère. Je les ai prises bleues, comme ses yeux, et avec des matières nobles. Finalement, le choix de CARLOTTI était une démarche sensible. J’ai cherché une marque fidèle à l’émerveillement. Et comme je voulais le meilleur lunetier, j’ai tapé meilleur lunetier de Paris et suis tombé sur CARLOTTI !
Et justement, quelle a été votre impression en tombant sur nous ?
MAXIME     /
Très bonne ! Quand je suis arrivé j’étais en jean, débraillé. Je n’aurais pas misé sur moi même pour une vente ce jour la ! (rires). J’ai été accueilli de façon très chaleureuse et non pas réservée comme dans le luxe standard. C’était vraiment un bon moment ! Quand je suis arrivé, j’étais pressé, dispersé… La conseillère m’a regardé et m’a tout de suite calmé (rires) : « Avant toute chose on va prendre café, parce que vous parlez super vite et que vous m’avez l’air très tendu… On va regarder pour vos lunettes, vous pouvez repartir sans rien si vous voulez mais prenez un café et détendez vous 5 minutes… » C’était vraiment une belle expérience, une expérience humaine. J’ai adoré !
Saviez-vous quel type de lunettes vous vouliez quand vous avez passé la porte de CARLOTTI ?
MAXIME     /
Le bois était une évidence. A vrai dire, pour celles-ci, j’avais des envies précises en arrivant. Mais je n’arrivais pas à mettre les mots dessus. Alors la lunetière m’a guidé en écoutant réellement mes envies. « Dirigez-vous plus sur du sur mesure, car je ne vous sens pas prendre des lunettes que quelqu’un d’autre aurait aussi », m’a-t-elle conseillé. Effectivement, j’avais besoin d’un réel changement et elle l’a senti. On est donc allés vers une monture assez ronde. Elle m’a encouragé à oser certaines choses, notamment la couleur bleue ! « On parle de vos lunettes alors osez ! Si vous les voulez bleues, qu’elles soient bleues ! » (rires) Finalement dans ces lunettes, je retrouve ma mère, mes goûts et mon envie d’avoir un regard doux et sérieux.
Et aujourd’hui… aucun regret quant à votre choix ?
MAXIME     /
Aucun. Mes lunettes font partie de moi comme aucune paire de lunettes auparavant. Avant j’en changeais très souvent alors que cela fait déjà 2 ans que j’ai celles-ci… j’ai l’impression qu’elles expriment bien ma personnalité mais aussi mon métier. Elles accentuent ce que je suis…
Pourriez-vous les décrire ?
MAXIME     /
Elles sont toutes en rondeur avec du caractère… élégantes, bleues, en bois… Les branches sont noires, ornementées du logo et de la petite perle. Elles se fondent parfaitement dans la monture, elles sont légèrement azurées, bleu foncé. Les lunetiers de CARLOTTI ont bien cerné ma personnalité. J’ai été particulièrement bien conseillé. Et elles sont si légères que parfois j’ai l’impression de ne pas les avoir physiquement même si je sais qu’elles sont là.
Quel rôle jouent-elles dans votre quotidien ?
MAXIME     /
Elles font partie de moi : ce que je déteste le plus dans mes lunettes, c’est quand je ne les porte pas. En ce moment, avec le masque et la buée, je dois les enlever régulièrement. J’ai l’impression de ne plus être moi même. Quand je ne les ai pas, je me sens nu.
Les lunettes ont une importance particulière chez vous. Pourquoi ?
MAXIME     /
Il y a quelque chose qui me passionne dans cet objet. C’est un simple accessoire, mais il prend de l’importance au niveau des matières, des formes et surtout des détails. C’est ce que j’adore chez CARLOTTI : le détail. C’est la perle… Quand je regarde mes lunettes, je vois cette perle. Un jour elle s’est décrochée et je l’ai perdue. J’étais super embêté au début et puis je me suis finalement souvenu qu’elle ressemble aux objets que je fais. Cette perle pouvait être n’importe où, chez quelqu’un ou dans la nature, mais elle vit et voyage.
Vous ne vous en lassez pas…
MAXIME     /
Ah non ! Avec la perle et la patine du bleu avec le temps. Elles sont de plus en plus jolies. Et bien sûr les compliments ! Comment s’en lasser ? (rires) Le nombre de fois ou on me dit que mes lunettes sont super belles. J’aime le regard que j’ai sur mes lunettes mais aussi le regard des autres sur moi. C’est ce qui me donne confiance quand je les porte.